Page 320 - nguyen vinh bao nhung giai dieu cuoc doi
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Je nourris l’espoir de te revoir.
Mais je t’ai attendue en vain chaque soir
Où te caches-Tu
Es-Tu à mes côtés.
Est-ce le Très-Haut t’a protégée
Pardonné tes défaillances
Pour te donner la bienveillance?
Ô Ma Muse! comment puis-je oublier
Les moments de bonheur partagés?
Ma vie sans Toi n’a plus de sens
Mon cœur saigne de ton absence
Mon âme déchirée, à jamais meurtrie
Pour toujours, ma cithare ne revit plus dans
tes yeux fleuris.
De cette existence éphémère
Que puis-je encore trouver
Pour me permmettre d’y attacher
PHULUC | 321