Page 80 - nguyen vinh bao nhung giai dieu cuoc doi
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L’or et l’argent ne me point sourient
           Que de confus nuages,  que de soucis sur soucis

           Naccuasant pas d’injustice le ciel ni la destine
           Elle prend part à ma souffrance sans soupirer.




           Bel et bien l’immuable amour quelle me donne
           Au nom de cet amour je ne raisonne

           Je ne donne pas mes défaux pour excuse
           Mille replies du coeur, je m’accuse

           Reprenant mon esprit, je ne sais que soupirer
           De ce passé qui ne m’est qu’un triste souvenir.




           En une haute estime, je chante son noble coeur
           De mes yeux, coulent mes premiers pleurs

           Sa rare vertu dont je fais vanité
           Vers Elle,  toujours, s’en vont mes pensées...



















                              NHỮNG GIAI ĐIỆU cuộc ĐỜI  I  79
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